Scarlet Letter #3 — How to grow confidence in 42 cocktails or less
Avoir confiance en soi en 42 cocktails ou moins
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Hello Scarlets,
Cette semaine je veux parler de confiance en soi. Parce que là, je n’en ai pas vraiment, ou en tout cas pas beaucoup. Les derniers mois sont passés sur ma confiance en moi avec un semi-remorque, au ralenti, deux fois de suite.
Je sais que ça a l’air grave, mais c’est arrivé à mon iPhone et après avoir changé l’écran, il fonctionnait plutôt bien.
Est ce que ça revient à dire qu’avoir confiance en soi est aussi facile que changer l’écran de son téléphone ? Non, c’est plus facile encore. Changer un écran demande de prendre rendez-vous au genius bar avec deux ans d’avance et ça coûte 329€. Soit l’équivalent de 42 cocktails ! Par contre, prendre confiance en soi ne coûte rien, ou en tout cas beaucoup moins que 42 cocktails. Est ce que ça prend du temps ? Bien sûr, mais enfiler des saisons de La Casa de Papel sur Netflix aussi et tu le fais tous les jours, donc pas d’excuses !
Dernièrement, j’ai beaucoup souffert de ce côté là. Je suis harcelée par une voix intérieure. Tu sais, cette voix qui attends un moment de quiétude pour te rappeler que “tu ne sers à rien”, “personne ne t’aime”, “tu n’as pas d’importance”, “tout le monde s’en fout de ce que t’as à dire”, “t’es nulle”, “t’es une imposture et tout le monde va le savoir”.
Cette voix là. Elle est plutôt sombre, hein ? Je ne crois pas qu’elle ait déjà été aussi forte ni aussi vicieuse que ces derniers mois, alors je me demande ce qui l’a provoquée.
A l’aveugle, je dirais : la pandémie, perdre mon boulot pendant la pandémie, essayer de mettre sur pied ce projet pendant la pandémie, le changement climatique, le “trumpisme” et l’ascension globale des extrêmes droites radicales menant à une augmentation de propos et actes racistes et
sexistes, le changement climatique (c’est un mot compte double), et maintenant la guerre en Ukraine qui, à elle-seule, a aggravé chacune des problématiques susmentionnées.
Ugh ! Quelqu’un d’autre a besoin d’un biscuit au Nutella et d’une piña colada ? Je reviens tout de suite.
Donc, disais-je, j’essayais de repenser à une époque où je me sentais en pleine confiance. A quoi ça ressemblait ? Comment j’avais fait ?
Alors que j’admirais le mur au pied duquel je stagnais, une notification apparu sur mon téléphone : “Podcast — Désirer : la confiance en soi”. Il s’agit d’un épisode du podcast Émotions, qui traite, sans surprise, des émotions en demandant à des inconnus de raconter leurs expériences et en faisant intervenir des experts : sociologues, neurologues, psychologues, etc. pour les expliquer.
En plein milieu, je me suis rendue compte que je l’ai déjà écouté il y a plusieurs années, mais une piqûre de rappel est plus que bienvenue. On y explique que la confiance en soi n’est pas absolue. Ce n’est pas quelque chose qu’on peut ressentir tout le temps et dans toutes les situations. C’est plutôt un ensemble d’outils et de compétences qu’on peut acquérir. L’important, c’est de se concentrer sur ses projets sans se comparer aux autres, et d’avoir de l’empathie et de la bienveillance envers soi-même.
En bonne élève, j’ai pris note de ces fameux outils et compétences. Je me suis dit qu’on pourrait voir ce qu’on a dans nos boîtes à outils respectives et en parler. Y-a-t-il des outils perdus ? Des compétences qu’on peut encore acquérir ? Voyons voir. Les gens confiants :
s’affirment bien
sont optimistes
sont tenaces, résilients
sont capables de réguler leurs difficultés, leurs émotions et d’adopter des stratégie
font confiance à leurs intuitions
n’ont pas peur de l’échec, ne le vivent pas mal, il savent se remettre en cause et tirer des leçons de leurs échecs
vont vers leurs points forts, ce qu’ils savent faire
ont une représentation interne de leur contrôle sur le monde : ils peuvent influencer les choses qui les entourent, les changer
Alors, t’en a coché combien ? Pas un seul ? Plus que quatre ? Tous les huit ? Est ce que ça t’a fait pensé à un.e proche ? Est ce que t’es en train de te servir un autre cocktail ?
Au cours des derniers mois, j’ai interviewé environ 15 femmes. Chacune d’entre elle avait accompli quelque chose d’audacieux dans sa vie. Pour certaines, c’étaient des choses intimidantes comme lancer une entreprise ou s’expatrier. Pour d’autres, c’étaient des choses plus fréquentes, mais non moins courageuses, comme changer de carrière ou aller à l’encontre des gens qu’elles aiment pour réaliser quelque chose qui leur tient à coeur. Quand je leur faisait remarquer qu’elles devaient avoir une très grande confiance en elles, elle me répondaient toujours “oh, je n’ai pas vraiment confiance en moi, c’est juste que je devais vraiment le faire.”
Je me demande encore pourquoi des femmes qui ont accompli et surmonté autant de choses, qui sont optimistes, qui ont du cran, qui ont su pivoter et rebondir rapidement après des difficultés… pourquoi ne se décriraient-elles pas comme ayant confiance en elles ?
Peut-être qu’elles n’en ont jamais pris conscience, qu’elles n’ont pas appris à identifier les signes de la confiance en soi. Peu importe, la bonne nouvelle c’est que tu as sûrement plus confiance en toi que tu le pensais, et tu devrais t’en réjouir.
Ma partie préférée du podcast était la toute dernière phrase : la confiance en soi c’est la joie d’être soi. La joie. C’est ça que je ressentais quand j’avais confiance en moi ! La joie est une émotion tellement simple à saisir. Elle n’est pas intimidante comme peuvent l’être l’audace ou le pouvoir. Elle n’a pas d’attente quant au futur, ni de regret quant au passé. Elle savoure simplement la beauté du moment présent. J’adore la joie.
Donc, pour savoir si tu as confiance en toi, tu peux relire la liste entière ou simplement te demander : est-ce qu’être moi me met en joie ?
S’il y a de la joie, dis-moi ce dont tu es fière en ce moment. Quelles sont les forces que tu cultives ? Quels projets t’animent ? Qu’est ce qui te rend optimiste ?
Si tu galères, comme moi, dis-toi que tout est temporaire, y compris le mal-être. Puisque la confiance est un ensemble de compétences, dis-moi lesquelles tu comptes aiguiser. Sur quelle force vas-tu te concentrer ? Quelle est la leçon que tu veux tirer d’un récent échec ? Quel projet es-tu excité de commencer ? Comment veux-tu tenir tête à cette voix intérieure ?
Pour ma part, je me concentre sur deux aspects.
D’abord, j’apprends à ignorer cette voix. Ce n’est pas parce que des pensées toxiques font surface que tu dois les croire, leur répondre ou perdre ton temps à ruminer. Traite-la comme quelqu’un que tu n’aimes pas à une soirée entre potes. Elle t’a vu, donc tu lui fais coucou, tu souris quand elle dit qu’on devrait “prendre le temps de parler” et puis tu vas passer le reste de la soirée avec tes vrais amis… et un cocktail.
Ensuite, je me concentre sur une force. En ce moment, c’est l’écriture. C’est quelque chose que j’aime faire, et je sais que je le fais bien. En tout cas, c’est ce que pense ma pote Emily et c’est la seule preuve dont j’ai besoin. Donc si tu n’es pas d’accord, fais-moi plaisir et garde-le pour toi ! 😉
Feu, prêt, défilez ! 🔥
Avec confiance modérée et seulement trois cocktails,
Soumïa
4 références culturelles pour repulper sa confiance en soi
T’es à l’intersection de la rue de l’incertitude et du boulevard de la confusion ? Suis le guide jusqu’à la place de la confiance.
📺 Est ce que tu te demandes quel épisode de Buffy va te sortir du trou ? Ne cherche pas plus loin, c’est 4x01, The Freshman. Son premier jour à l’université, Buffy est perdue et désorientée sur le campus, alors que ses amis ont déjà trouvé leur place. Elle bafouille devant un prof, se fait humilier et jetée de cours par un autre, sa colloc’ ronfle, le premier ami qu’elle se fait disparait et elle se fait mettre à terre par un vampire. Tout va mal, mais au moins son pote Alex est là pour lui remonter le moral.
Buffy, c’est qu’une question de peur. C’est compréhensible mais tu ne peux pas la laisser te contrôler. “La peur engendre la colère. La colère engendre la haine. La haine engendre la colère.” Non, attends. “La peur engendre la haine. La haine mène du côté obscur de la force.” Attends, non, euh “d’abord t’auras les femmes, ensuite t’auras l’argent…” non, oublie ce que j’ai dit.
La preuve qu’essayer d’argumenter avec ta voix intérieure est une perte de temps. En dehors des punchlines hilarante hors du commun, cet épisode mérite d’être regardé pour la satisfaction de voir Buffy écouter ses instincts de tueuse et remettre les choses en ordre.
📕 Comment affronter l’adversité, de Brené Brown est un livre super si, comme Buffy, tu t’es fait.e malmené.e par la vie. C’est un guide pour se relever et dépasser les histoires et croyances limitantes qu’on traine avec nous depuis trop longtemps. Il t’aidera à cultiver certaines compétences qui relèvent de la confiance en soi : gérer l’échec, créer une vision positive de soi même et devenir résilient. Comme tous les livres de Brené Brown, ce livre devrait être une lecture obligatoire de la maternelle au doctorat. Que tu galères ou pas, je te recommande ce livre. Il t’aidera à t’aider toi même et à devenir plus attentif aux gens qui t’entourent.
📺 Insecure, cinq saisons. Si Buffy n’est pas ton truc, ne me le dis pas, mais va regarder les cinq saisons d’Insecure. La série écrite et réalisée par Issa Rae, qui en joue aussi le personnage principal, vaut vraiment la peine d’être vue. La série entière est dédiée à la quête de confiance en soi. Elle tourne autour de Issa, une jeune femme dans un travail sans perspective et une relation vouée à l’échec qui essaye de se défaire de ses insécurités. Mes moments préférés sont ceux qu’Issa passe devant le miroir à rapper pour elle même.
Warning: tout le monde dans cette série est bogoss. Ce qui m’amène à…
🎵 Ultra Bogoss, Disiz La Peste, si tu as grandi en France dans les années 90 et que tu n’as pas dansé sur ce titre de Disiz La Peste, tu n’as probablement pas grandi en banlieue. Il n’est pas trop tard. Écoute-le sans trop de sérieux, de préférence seul devant ta glace. La devise du bogoss? Le ridicule ne tue pas ! #jsuisunbogoss
Envoie-moi les références culturelles que tu as envie de voir dans prochaines newsletter en envoyant un email à soumia@scarletempyre.com
⛔️ ✋ Before you go anywhere, I wanted to share with you a a sneak peak of the first product we plan to launch. One picture and that’s it, I’ll tell you all about it next week.
Avant de partir, je voulais partager un sneak peak du premier produit qu’on va lancer. Une photo et c’est tout, je t’en dirai plus la semaine prochaine !
🇺🇸 Hello Scarlets,
This week, I want to talk about self-confidence. Because I don’t have any. Or not much. The past few months have run over my confidence with a truck. In slow motion. Twice.
I know it sounds bad, but that happened to my iPhone and after I fixed the screen, it worked just fine.
Am I saying that gaining self-confidence is as easy as fixing an iPhone screen? No, I’m saying it’s easier. Fixing an iPhone screen requires taking an appointment with the genius bar two years from now, and it costs 329€. That’s like 42 cocktails! On the other hand, becoming self-confident costs nothing, or a lot less than 42 cocktails. Does it take time? Sure, but so does binging Brooklyn Nine-Nine on Netflix, and you’re doing that every day so… let’s get real!
Lately, I’ve been struggling a lot. I’m being harassed by that inner voice. You know, the one that waits for a moment of quiet to remind you that “you’re not good enough”, “no one cares what you have to say”, “you don’t matter”, “you suck” “you’re not worthy of love, of being seen, of being heard”, “you’re a fraud and everyone’s gonna find out”.
That voice. It’s pretty dark isn’t it? I don’t think it’s ever been so loud or vicious as it’s been the past few months. I’ve been wondering what triggered it.
Wild guess: the pandemic, losing my job in a pandemic, muddling through to bring this project to life in a pandemic, climate change, trumpism and the general rise of the radical far right leading to an increase in racism and sexism, climate change (yes, it’s a double word score), and now the war in Ukraine, compounding literally every single issue aforementioned.
Whew. Anyone else feels like having a chocolate-chip cookie and a piña colada? BRB.
So I’ve been trying to think back to when I was self-confident. What the hell did it feel like? What did I do to make it happen?
Just when I hit a wall, a notification popped on my screen: “Désirer : la confiance en soi” (Desiring self-confidence). It’s an episode of the Émotions podcast, which delves into human emotions as experienced by random strangers and explained by sociologists, psychiatrists and other experts.
Halfway through, I realized that I had already heard it years ago, but the refresher was very much welcome. It reminded me that self-confidence is not an absolute. It’s not something you can feel all the time and in every situation. It’s a collection of tools and skills that you can acquire. What matters is to focus on your projects without comparing yourself to others and to treat yourself with kindness and empathy.
As a dedicated straight-A student, I took notes of the self-confidence tools and skills. I thought it’d be fun to see what’s in our respective toolboxes. Are there any tools we’ve lost? Any skills we’ve yet to acquire? Let’s see!
Self-confident people:
affirm themselves
are optimistic
are resilient, have grit
are capable of regulating their difficulties and emotions and of adapting strategies
trust their intuitions
are not afraid of failure because they are capable of identifying why they failed and to draw lessons from their mistakes
focus on what they’re good at
believe that they have a degree of control over the world. They can influence their surroundings. They can change things.
How did you do? Were you able to check any? More than four? All eight? Did it make you think of someone you know? Are you pouring yourself another cocktail right now?
Over the past few months I interviewed about 15 women. All of them had achieved pretty bold things in their lives. Some were big scary things like starting a business or moving abroad to start over. Others were simpler, yet still courageous things like changing careers or standing up to loved ones to pursue something they believed in. Every time they talked about these experiences, they would mention their fears, their self-doubt and sometimes their faith. What did not come up was self-confidence. When I brought up the amount of confidence they must have had, their response was a variant of “oh no, I’m not super self-confident, but this was important to me. I had to do it.”
I keep asking myself why women who have accomplished and overcome so much, women who are optimistic and gritty, who have learned to pivot and rebound quickly after failure… why would you not describe yourselves as self-confident?
Maybe it’s only that you’re not aware. Maybe you haven’t learned to recognize the signs of self-confidence as such. Doesn’t matter, chances are you’re a lot more confident than you think you are, and you should revel in it.
My favorite part of the podcast was the very last sentence: self-confidence is the joy of being yourself. The joy. That’s what it felt like to be self-confident! Joy is such a simple emotion to catch. It’s not loaded like audacity or power. It has no expectations of the future, no regrets over the past. It merely appreciates the beauty of the present moment. I love joy.
So, you could go through that checklist or you could simply ask yourself: do I feel joy for being me?
If you found joy, let me know what you’re proud of lately. What are the strengths you’ve been nurturing? What projects are you bringing to life? What are you optimistic about?
If you’re struggling, like me, know that everything is temporary, including feeling like shit. Since self-confidence is a collection of skills, let me know which one you want to sharpen next. Is there one strength you could focus on? One lesson you can learn from a recent failure? One project you are excited but also scared to start? How has that voice been putting you down?
I’m doing two simple things.
First, learn to call bullshit on that voice. Just because a thought pops up doesn’t mean you have to believe it, engage with it or waste your time thinking about it. Treat it like someone you don’t like at a party. They spotted you so you wave hello, smile when they say “let’s talk more later” and then go hang out with your real friends… and another cocktail.
Second, I’m focusing on one strength: writing. It’s something I enjoy doing and I know I’m good at it. At least my friend Emily thinks so and that’s all the validation I need. So if you disagree, please don’t tell me! 😉
Fire, set and march on! 🔥
With growing confidence and only three cocktails,
Soumïa
Confidence boosting pop-culture for hardcore moments of self-doubt
Are you at the corner or insecurity street and confusion avenue? Follow the guide for a way to confidence plaza.
📺 Are you wondering which Buffy episode will help you out of this funk? Look no further, it’s episode 4x01, The Freshman. On her first day at university, Buffy is lost and confused on campus while her friends are already settled in. She ridicules herself in front of a teaching assistant, gets humiliated and kicked out of class by a professor, her roommate snores, the first friend she makes disappears AND she gets her ass kicked by a random vampire. Life sucks, but at least her friend Xander gives her the only pep-talk you’ll ever need to hear:
Buffy, this is all about fear. It's understandable, but you can't let it control you. 'Fear leads to anger. Anger leads to hate. Hate leads to anger.' No wait, hold on. 'Fear leads to hate. Hate leads to the dark side.' Hold on, no, umm, 'First you get the women, then you get the money, then you...' okay, can we forget that?"
This is proof that trying to argue with that inner voice is utterly pointless. Besides the hilarious unlikely one-liners, what makes this episode satisfying is watching Buffy finally channel her slaying instincts to set things right.
📕 Rising strong by Brené Brown is a great book if, like Buffy, your ass has been kicked and you’re eating dust. It’s a guide to dust yourself off and get rid of the internal voices that keep you down. It will help cultivate some of the skills that are essential to self-confidence: dealing with failure, framing helpful and positive stories about yourself and becoming resilient. This book should be mandatory reading from pre-school to post-graduate. Whether you’re struggling or not, I strongly recommend Rising Strong. It will help you help yourself and be more attentive to the people around you as well.
📺 Insecure, all five seasons. If Buffy isn’t your style, don’t tell me, but go and watch all 5 seasons of Insecure. This TV show, written and directed by the talented Issa Rae, who’s also the main character, is worth a binge-watch. The entire series is dedicated to Issa (and her friends) quest of self-confidence. My favorite moments are those Issa spends in front of the mirror, rapping herself out of a funk.
Warning: everyone in this show is either a cutie, a beauty or a hottie. Which brings me to…
🎵 Ultra Bogoss, Disiz La Peste, if you were born in France in the 90s and you don’t know this iconic song, you probably didn’t grow up in the suburbs. For the non-French-speakers, Bogoss is a slang term meaning “beauty” or “hottie”. You can use it in the feminine too: “belle gosse”. The bogoss’s motto ? Ridicule won’t kill ya! It opens with “alone in front of my mirror, I think I’m a beauty” and the entire chorus consists of repeating “I’m a beauty” in different tones. For best performance, play this song in the morning, preferably alone, in front of the mirror.
Merci pour l'article et surtout merci pour Ultra Bogoss, j'avais oublié cette musique et actuellement je m'ambiance grâce à toi !
Continu d'écrire pour toi et pour nous, j'aime trop te lire. Pour ma part, je dirais que la peur de l'échec me bloque dans ma vie depuis trop longtemps. Je vais travailler dessus avec un petit cocktail, je suis très doué pour le Sex On the Beach :P
Et... HAAAA !!!! L'aperçu j'ai trop hâte de voir la suite.